
Jérôme AVIRON, né en 1969, a la fraîcheur des jeunes auteurs, dont les mots sont empreints d’une mélancolie et d’une sagesse tendres et personnelles… Amateur de poésie, il découvre son amour pour les mots, très jeune alors qu’il vit sur les contreforts du Jura. L’écriture pour lui est avant tout un moyen de chanter la vie, de chanter « La France », dont il aime la culture et la nuance des émotions.
Pourtant, son horizon s’élargit à 190°, lorsqu’il découvre la belle Afrique, ses couleurs vives et les cœurs chaleureux qui l’animent. Depuis près de 8 ans, en « globe-trotter de Dieu »
impénitent, il y retrouve chaque année pour Pâques, ses filleuls, fils de cette terre d’adoption bien-aimée.
La vie est parfois cruelle et l’auteur peut en témoigner lui même ! A la suite d’un accident de couveuse, il reste handicapé. Marqué par le destin ! Mais pour lui cela ne sera pas une fatalité. Il deviendra Juriste, tout en conservant sa passion : L’écriture ! Elle est une amie, une douce confidente, avec laquelle il nous plonge dans ses souvenirs. Ecrire devient alors, comme peindre une toile, où se mélangent les couleurs, les rythmes et les émotions.
Au fil de ses “pattes de mouches”, comme il se plait à les appeler, ses textes sont un itinéraire intime, qui invite à la réflexion, et dont la poésie nous enivre d’une leçon de vie !
Jérôme AVIRON a publié :
Poésie
– « Les fruits de la Passion sénégalaise », dans la revue « Horizons Africains » de mars 2012
– « Les arrosoirs », « Prendre la clef des champs », « Sous le griottier », « Une rose gelée au jardin », dans la revue « Le Pan poétique des muses » n° 3, à l’été 2013
– « Quand j’étais en prison, vous m’avez visité », « En piste ! », « Lou-garou provençal », dans la revue « Vermifuge » n° 9, de mars 2014
– « Simplement », recueil aux éditions Rhéartis, collection « l’arrogance des mots », mars 2014
– « A.L., dans la revue « L’aiguille preuve » n°17, de mai 2015, Association des amis d’Arsène Lupin, Editions d’Arsène
– « A la chasse aux canards », dans la revue « Lou Can » n°6, de novembre 2016, sur le thème de « la grande bouffe »
