Poème de Jonathan Ikami (1997-) – Partenaire d’AFROpoésie – RDC
Illustration: photographie de bougainvillier, par Javier Martin
Avant que le crépuscule règne
Et que la nuit dandine comme une reine
À la cour du palais,
Tu reviendras couvrir mon être
De la chaleur de tes baisers.
Sinon,
Au vent chaud de la brune ,
Je me lancerai à la poursuite de ton âme
Qui sur l’aile de la mort s’envole,
Ô toi qui t’envoles
Femme, fille
À la voix lactée
Au regard azuré
Ne rends mon espoir frivole.
Mes nuits de souffrances
Mes journées de lumières
Où brillaient d’un fort éclat de sourire tes lèvres,
Où mes insomnies se voyaient conquises
Par la lueur de l’espoir;
Ne les trahis pas ,
Ô femme, fille de mon peuple.
Superbe texte Jonathan!! Bisous!!
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