Je suis né en 1954 dans une petite ville de l’Ouest de la France et j’ai découvert l’écriture et la poésie « sur le tard », en 2010. Depuis elle est devenue ma compagne de tous les jours…

Deux muses aiment venir me hanter : la Femme et la mort ou dit autrement l’amour et le sens de la vie.

La poésie est pour moi le contraire de Twitter et de sa rapidité. Elle est un arrêt sur image… Sur un émoi sur un trouble sur la beauté sur la laideur.

Le tout vu, ressenti à travers le prisme qu’est mon regard.

Par le petit côté de ma lorgnette…

J’écris sans chercher à échapper à mes propres contradictions, en suivant l’objectivité de ma subjectivité (à moins que ce ne soit le contraire) et en essayant,  avec plus ou moins de ‘succès’, de respecter l’esprit de la prosodie classique, vaste gnose, vaste ésotérisme…

Mais ma poésie n’a que peu de ponctuation : j’aime l’aspect épuré de poèmes ainsi dénudés.

Mon lien avec l’Afrique

Je vis l’Humanité comme étant, au-delà de l’espace et du temps, un tout universel (la poésie en est un miroir) et la francophonie comme étant un sous-ensemble de ce tout.

Parce que le français est la langue dans laquelle je rêve, je pense, je parle et écris, je me sens naturellement proche des autres poètes utilisant cette langue comme c’est le cas en Afrique francophone.

De plus, c’est un honneur pour moi que d’être publié au Congo, en Tunisie, au Cameroun et au Sénégal et d’avoir obtenu au concours international de poésie organisé en 2020 par ‘Africa poésie’ un Prix d’honneur pour ‘Un même poinçon…’

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