Poème d’Andrée Chedid (1920-2011) – EGYPTE/FRANCE
Je m’attache aux pulsations des villes
A leur existence mouvementée
Je respire dans leurs espaces verts
Je me glisse dans leurs ruelles
J’écoute leurs peuples de partout
J’ai aimé les cités Le Caire ou bien Paris
Elles retentissent dans mes veines
Me collent à la peau
Je ne pourrai me passer
D’être foncièrement :
Urbaine.
Poème inédit commandé par le Printemps des Poètes 2006