Poème de Hognalo Cosmas (1999-) – Partenaire d’AFROpoésie – TOGO
Quand le soleil, de ses ondes a fini d’éclairer la Terre
Et que la lune fidèle, le témoin récupère…
.
Quand s’illumine l’azur céleste d’étoiles
Et que le hibou noctambule bouboule…
.
Quand le globe de son pagne noir se couvre
Et que Morphée dans ses bras berce tout être,
.
Dans les profondeurs de la nuit, éveillé suis-je, errant
Par les méandres de mes pensées, fuyant.
.
Fuyant, par un chasseur poursuivi ; mon passé
Rendant flou mon avenir, mon futur insensé.
.
Dans ce spectacle soudain, une goutte
Inattendue tel au désert oasis ; de larme une goutte
.
Sur ma joue s’invite, d’autres la suivant et bientôt de larme
Un torrent, héraut du mea culpa de l’âme.
.
Mon être embrouillé, subrepticement se calme,
Sans coup férir, loin se retrouve du suppliciant vacarme.
.
Apaisé, l’esprit dans d’innombrables réflexions se lance
Avec à la main rédemption comme fer de lance.
.
Libéré d’avoir trouvé moyen de rédimer,
Subséquemment, le corps, par le sommeil se fait courtiser.
.
.
Catégories :Non classé
Commentaires récents