Poème de Wallada (994-1091) – Califat de Cordoue
Illustration: Les jours passés, gravure de 1798
Ô luxuriante Cordoue!
As-tu une espérance pour moi?
Peut-être qu’un cœur qui brûle en ton absence peut se réchauffer?
Peut-être que tes nuits délicieuses peuvent revenir,
quand la beauté était un cadeau pour les yeux,
et les musiques un plaisir pour ceux qui entendaient tendrement, en toi, le cœur de la vie?
Traduction réalisée par AFROpoésie
Superbe gravure qui met bien en valeur ce poème ! Merci
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