Poème de René Depestre (1926-) – HAÏTI

Qui sont-ils sans masques aucuns
ces pays dans les hauts cordages de ma tristesse ?
qui sont ces hautes collines
qui se taisent
dans les grandes largeurs
de ma parole d’automne ?
tous les dieux vaincus du siècle
ont encore une mer à traverser
sans papiers et les larmes aux yeux !
Pas possible de laisser cette poésie de René Depestre sans commentaire.
Superbe et triste à la fois. Merci !
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Merci. C’est important de commenter, une façon de rendre hommage.
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A reblogué ceci sur Notes avis critiques clés bibliofeelet a ajouté:
Reblogué depuis l’excellent site de poésie : https://afropoesie.com/
que je remercie pour la diversité et la qualité de ses publications.
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Merci à vous pour l’appréciation !
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ILS vont échouer devant l’ordinateur le dieu toutes les traversées.
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