Dos de couverture :

« L’idée de ce recueil s’est imposée avec la mort de Samuel Paty en octobre 2020.

Il est constitué de 22 poèmes. 19 sont inédits.

Sans que je ne le recherche, naturellement, la couleur de mon encre est devenue rouge sang…

Dans son éternité la poésie se doit de chanter la Vie et de pleurer quand la mort impose son joug.

Dans un premier temps j’ai pensé mettre le nom de Samuel Paty dans le titre.

Pourquoi ne pas l’avoir fait ? Pour ne pas laisser croire que j’étais pour les caricatures. Et ce n’est pas le cas.

Le respect que j’ai du sacré fait que…

Néanmoins je ne suis pas plus contre.

Idem d’ailleurs pour les dirigeants politiques : le respect de la fonction m’empêche de… 

Mais la Liberté est un bien précieux…

Comme celle de croire ou pas.

Et de telle ou telle façon : Comment ne pas penser à la mort de Michel Servet !? Sa négation de la trinité fut jugée « blasphématoire » : …

Par nature un saint dogme professé par un croyant est ‘toujours’ jugé hérétique par le croyant d’une autre religion et ce premier est vu en blasphémateur.

Et réciproquement…

Les guerres de religions ont entaché -et entachent toujours- l’Humanité…

Aussi Honneur aux Autorités qui œuvrent pour que les différentes croyances (parmi les lesquelles se trouve l’incroyance) cohabitent pacifiquement…

Et Honneur aux enseignants qui œuvrent pour cette tolérance…

Oui la Liberté est un bien précieux… »

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