Poème de Raymond Hounvo (1994-) – Partenaire d’AFROpoésie – BÉNIN
Illustration: Agapanthus africanus (Fleur de l’amour d’Afrique) Botanical Magazine vol. 14 pl. 500 (1800)
A la très chère, A la dulcinée
Qui a toujours pleuré mes mauvaises conduites,
A l’ange de ma vie, à l’ arbre de mes ombres,
Je dédie mes vers.
Elle s’éparpille dans ma vie
Comme un air imbibé de menthe,
Et dans mon pauvre âme
Comme de l’inaccoutumé
Elle est cet air qui, abondamment, parfume
Le coté nauséabond de l’atmosphère.
Pour elle, je partirai sabre en main
Comme un chevalier déterminé.
Comment, Amour intègre et juste,
T’exprimer dans mes vers pour que mes lecteurs te connaissent?
Ô Amour! Que tu es vraiment inexprimable!
Que ta grandeur s’élève au-dessus des cieux!
A la très chère, à la dulcinée,
Qui fait ma joie et ma fierté;
A l’ange de ma vie, à l’arbre de mes ombres,
Je dédie mes vers