Moukassa devient partenaire d’AFROpoésie !

Je m’appelle Moussa Kako Moussa, écrivain Djiboutien, connu sous le pseudonyme de Moukassa. Déjà auteur d’un recueil de nouvelles, La Dérive, paru aux éditions Soleil Levant en 2019. Je viens de publier « Mosaïque » un recueil de poèmes paru aux éditions Harmattan, sous la marque Les Impliqués en 2022. Passionné de la littérature, j’ai toujours œuvré pour la promotion de la lecture et écriture. Un des fondateurs du café littéraire Gafaneh, un collectif des auteurs et intellectuels qui œuvrent depuis plusieurs années à la promotion des auteurs Djiboutiens et de la littérature en général. Président-fondateur de l’association « La Boussole des Savoirs », il s’agit d’un véritable espace de promotion de la langue Française en général et de la littérature francophone à Djibouti en particulier, dont les membres organisent sur l’ensemble du territoire des conférences littéraires, des clubs de lecture et atelier d’écriture comme autant de caravane du livre faisant office de boussoles du savoir. De ce fait, en tant qu’activiste culturel engagé socialement, j’organise et coordonne des conférences littéraires, pour que les auteurs puissent présenter leurs œuvres, dans des lieux culturels tels que l’Institut Français de Djibouti mais aussi en établissements scolaires et dans centres de développement communautaires. En sus, j’organise, encadre et forme des clubs de lecture et ateliers d’écriture pour accompagner les jeunes dans leur travail, pour permettre à ces derniers d’acquérir de nouvelles connaissances.

Effectivement, j’ai ressens une profonde affinité pour la poésie. La poésie m’a toujours permis d’en apprendre davantage sur moi-même, d’aller à la rencontre de l’autre afin de changer le regard que je porte sur moi-même. Je pourrais dire que j’ai été élevé par des poètes nomades ou qu’Aimé Césaire, Langston Hughes, Damas etc…. ont eu beaucoup d’influence sur moi.

Mais entre nous, la vraie question est que signifie la poesie pour moi ? Par delà le fait que mon père m’a très tôt initié à la lecture (Magazine panafricaine « Les Aventure des Kouakou ») et que je me suis toujours mieux exprimer par écrit, sans aller trop loin, j’aime ça la poésie.